I :
(chiffre romain) indique le premier accord d'une progression. Quand la lettre est majuscule cet accord est majeur, si la lettre est minuscule l'accord est mineur. Pour décrire, un anatole en chiffre romain, on écrirait : I vi ii V7. En partant d'un accord de do, on obtient : C Am Dm G7. Le chiffre romain concerne l'accord et le chiffre arabe indique l'intervalle contenu dans l'accord. Pour la progression dite "du carré magique" on noterait I V vi IV.
détailsI (arpèges) :
désigne l'initiale de l'index, quand il doit pincer la corde. Pdésigne le pouce, M le majeur, A, l'annulaire. L'ordre variable de ces quatre lettres permet de décrire le doigté voulu.
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détailsImago :
Marque de ukulélés francais réalisés par le luthier Rico Priet installé dans l'Ain.
I mua :
terme Hawaiien signifiant "premier".
Imua Ukulele Inc. :
Compagnie basée à Honolulu dirigée par Jorma Winkler, spécialiste du koa et Shinji Takahashi maitre luthier japonais. Leur production vise le très haut de gamme.
inlay :
(terme anglais) incrustation d’ivoire ou de nacre.
intervale :
(harmonie) écart entre deux notes. L'intervale se mesure en tons.L'écart peut être de trois tons (do mi) pour une tierce, de quatre tons (do fa) pour une quarte, de cinq tons pour une quinte (do sol) etc.
détailsintro :
(abréviation d'introduction) partie instrumentale au début d'un morceau.
intonation :
(terme anglais) ou tone peut être traduit par tonalité.
Ipulele :
modele de chez Earnest en forme de pastèque. ("Ipu" signifie "melon" en Hawaiien, mais l'instrument est fabriqué à Portland), Malgré son aspect fantaisiste c'est un instrument réputé.
Islander :
(modèle) ukulélé en matière plastique créé par Mario Maccaferri en 1949.
détailsIslander :
(modèle) ukulélé d'assez bonne facture au prix plus abordable, fabriqué en Chine pour la compagnie Hawaiienne Kanilea.
Island Stroke :
(Strum) appelé aussi Calypso, il se décompose sur quatre temps :
Down,
down up, up down up Down, down up. up down up Down
le temps fort étant sur le Down majuscule.
ivory :
(terme anglais) ivoire.
I-V-vi-IV progression :
groupe de 4 accords dont la progression en boucle est de plus en plus utilisée depuis les années 1990 dans la composition de chansons. On trouve déjà cette structure dans le canon de Pachelbel, dans "No Women No Cry" de Bob Marley, ou encore dans "Let It Be" des Beatles.
I V vi IV siginifie Tonique Quinte sixte mineure et Quarte.
L'exemple en Do serait C G Am F.
La même structure peut être décalée en partant du vi-IV-I-V, cette forme est surnommée parfois pour plaisanter "the sensitive female chord progression" soit "la progression féminine sentimentale". L'exemple en Do serait Am F C G. "Aïcha" ou "femme libérée" sont construites sur cette progression.
détailsIz :
surnom d'Israel Kamakawiwoʻole, fameux musicien et chanteur hawaiien (1959-1997).
détails